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Ligne FCE : un train dans le gouffre

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Ligne FCE : un train dans le gouffre

La direction collégiale s’attèle actuellement au redressement de la ligne ferroviaire Fianarantsoa Côte Est (FCE). Cette structure a été mise en place depuis le mois de mars 2023 suite aux problèmes liés à la gestion et à l’exploitation de ligne. En novembre 2021, la locomotive BB 246 qui était la seule en marche est tombée en panne, et la société a été mise à mal. Le transport ferroviaire était à l’arrêt total de novembre 2021 à juin 2023.

La réouverture de la ligne Fianarantsoa – Manakara a été officialisée le 15 juin 2023, alors que la portion qui relie Fianarantsoa à Sahambavy et Manampatrana a été déjà opérationnelle depuis le 10 avril 2023. Le train a quitté Fianarantsoa le 15 juin 2023 à 9h du matin avec une centaine de passagers à bord. Il est arrivé à Manakara le 16 juin à 3h du matin. Il a fallu 16h pour faire le trajet de 163 km. Par ailleurs, le train a déraillé à trois reprises pendant le trajet à cause de la vétusté des voies, selon le témoignage d’un passager et qui a été confirmé par deux autres membres du comité de redressement. « Ce déraillement témoigne de l’étendue du redressement nécessaire après la mauvaise gestion d’exploitation », a souligné un membre de la direction collégiale de la FCE qui a voulu garder l’anonymat.

Corruption, abus de pouvoir, népotisme, détournement d’argent, détournement de matériels et de biens de la société. Telles sont les causes du problème de gestion de la ligne ferroviaire FCE citées par nos sources. Qu’en est-il vraiment de ces problèmes ? Nous avons mené notre enquête depuis le mois de février 2022 jusqu’en juin 2023. La majorité des personnes que nous avons rencontrées s’accordent à dire que la gabegie a conduit la FCE dans un gouffre immense. Par contre, les langues ne se délient pas totalement au moment de nommer les coupables, de peur d’être privé de ses petits avantages dans les magouilles alors que les autres témoins ont peur pour leur avenir professionnel voire leurs vies.

1 596 000 000 ariary de manques à gagner

La ligne FCE desserve 19 communes rurales entre Fianarantsoa et Manakara. Sept de ces communes, situées entre la gare d’Ampitambe et Tolongoina et entre la gare de Manampatrana et Sahasinaka, sont totalement isolées sans le transport ferroviaire. La vie des millions d’habitants dépend du service de la ligne FCE, notamment le transport des produits locaux et l’évacuation sanitaire. Les recettes du transport des marchandises et des voyageurs ainsi que la location des terrains et emprises de la FCE constituent les deux principales sources financières de la ligne ferroviaire Fianarantsoa Côte Est depuis toujours, explique un ancien responsable financier de la FCE.

Pendant le temps de prospérité de la société, l’exploitation de transport de marchandises et des voyageurs assurait à elle seul les 80% des sources de revenus de la société, tandis que 20% sont issus de la location de terrain et emprises.

Auparavant, la FCE encaissait 21 millions d’ariary de bénéfices par semaine pour le transport de marchandises et de voyageurs seulement. 

Le train effectuait trois boucles par semaine, c’est-à-dire trois voyages aller et retour Fianarantsoa-Manakara pour une recette de 12 millions ariary par boucle. Les dépenses s’élèvent à 5 millions ariary et était constitué en majeur partie par le carburant. Selon les calculs, la société bénéficiait d’un gain de 7 millions d’ariary par boucle. Si on totalise donc les manques à gagner de la FCE pendant les 19 mois d’arrêt de l’exploitation, à partir du mois de novembre 2021, elles s’élèvent à 1 596 000 000 ariary.

La société n’est pas la seule perdante dans l’histoire, la population souffre également de l’arrêt des trains étant donné que des tonnes de produits locaux sont avariés puisqu’ils ne trouvent pas de preneurs sur les marchés locaux. « Les paysans ne sont pas les seuls bénéficiaires si la ligne ferroviaire est en bon état, mais les consommateurs Fianarois seront également bénéficiaires de la baisse de prix puisque le marché serait inondé par les marchandises, loi de l’offre et de la demande oblige », soutient Claude Ranaivojaona, vice-président de l’Association des détenteurs d’intérêt de la FCE ou ADI-FCE, qui regroupe les bénéficiaires de la ligne FCE. Une des rares sources qui a accepté d’être cité dans notre enquête.

Les mots manquent

Outre sa responsabilité au sein de l’associaiton ADI-FCE, notre interlocuteur, Claude Ranaivojaona est non moins un opérateur économique œuvrant dans le tourisme à Manampatrana dans le district d’Ikongo, une des 19 communes rurales desservie par la ligne FCE.  Depuis l’arrêt de l’exploitation, Claude a choisi de changer d’activités à Fianarantsoa. « Je n’ai pas à avoir peur de vous parler. Je ne fais que mon devoir en vous partageant mes témoignages » a-t-il répliqué à notre demande d’interview en nous accordant un entretien chez lui, durant le mois de mai 2023.

Après deux heures de conversation, vers midi trente, Claude, très émotionné, continue à nous livrer ses témoignages tout en faisant des cents pas et des gestes imitant celles des contrôleurs de la ligne FCE qui jetaient par-dessus bord les marchandises transportés illicitement, avant d’entrer à la gare de Fianarantsoa. Les frais de ces marchandises étaient empochés directement par les contrôleurs et seraient partagés avec d’autres agents de l’administration dont un ancien directeur qui était de leur réseau. Brusquement, il s’immobilise et reprend place dans son fauteuil. Souffles coupés, Claude enlève ses lunettes et laisse voir ses larmes tout en essayant de dissimuler sa douleur. Les mots lui manquent pour décrire la situation chaotique de la FCE.

Des indices et des plaintes

Claude a partagé une des magouilles perpétrées à la FCE pendant des années. Le fait a été confirmé par deux syndicalistes à la FCE qui ont voulu gardé l’anonymat. Le réseau a été soutenu par un ancien directeur qui assurait également sa protection.

Ces gens étaient en quelques sortes des intouchables malgré leurs actes qui ne se passaient toujours pas dans l’ombre. Ce sont les mains qui nourrissaient l’ancien directeur même. « Comment expliquez-vous qu’avec un salaire d’un simple directeur, il peut s’offrir un villa somptueux d’une valeur de plusieurs centaines de millions à Fianarantsoa et d’autres constructions dans son village natal ? Et pire encore, ne serait-ce pas un peu louche si des agents de la FCE qui se plaignait de l’insuffisance de leur salaire se sont permis d’offrir une voiture 4X4 en guise de cadeau d’anniversaire à l’ancien directeur ? », se demande l’un de nos syndicalistes face à ces indices qui laissent planer le doute.    

D’après nos deux interlocuteurs, des plaintes sont déjà déposées à l’encontre de cet ancien responsable et ses sbires de la FCE par rapport à ces magouilles et ces vols de tout genre, mais restant toujours sans suite.

Le népotisme dans le mode de recrutement, l’affaire qui est en cours sur un contrat douteux d’achat de carburant avec un opérateur pétrolier et la revente de ces carburants à la FCE, des cas de vols répétitifs des pièces de rechange et la revente de ces pièces avec surfacturation à la société, l’opacité dans la gestion des contrats de location des terrains et emprises de la FCE…La liste est longue mais la situation ne rassure pas les autres employés qu’ils s’abstiennent de témoigner.

Interrogées, toutes nos plusieurs de nos sources nous ont assuré que des plaintes ont été déposées auprès du Bureau indépendant de la lutte contre la corruption ou Bianco, bureau territorial de Fianarantsoa par rapport à ces accusations impliquant l’ancien directeur de la FCE.

Le directeur du Bianco Fianarantsoa a accepté de recevoir les journalistes de Malina dans son bureau situé à Tanambao Fianarantsoa le mois de mai 2023. Olivier Ratsimbazafy, directeur régional du Bianco Fianarantsoa a désavoué les employés en soulignant qu’aucune plainte n’a été reçue au sein de son bureau. « Certes, il y a un dossier à l’encontre de ce directeur déposé au Bianco, mais ceci n’a rien à avoir avec la société FCE », a-t-il indiqué.   

Joint au téléphone, l’ancien directeur mis en cause a été sollicité de s’exprimer sur le sujet mais s’opposait fermement à publier ses propos. « Si jamais vous osez publier mes propos, je n’hésiterai pas à réfuter catégoriquement que cette conversation n’a jamais eu lieu » a-t-il menacé à l’autre bout de la ligne, après une bonne trentaine de minutes d’entretien.

Quid de la construction de l’immeuble Cotisse

La location des terrains et emprises est un revenu réglementaire et légal de la FCE, selon les explications du directeur par intérim de la FCE,  en exercice le mois de mars 2022. La location est régit par un contrat en bonne et due forme avec le locataire, mais à titre précaire. Théoriquement, la FCE peut à tout moment résilier le contrat et les terrains lui reviennent dans le cas où la société en a besoin pour des raisons liées à l’intérêt du développement de l’exploitation.

Pourtant, la mise à la disposition d’une portion de terrain, dans l’enceinte de la gare FCE, à la société de transport Cotisse inquiète plus d’uns. La société y effectue actuellement une construction imposante. Cette portion fait parti de la propriété dite « La Vallée », titre foncier n° 611-V et appartenant à l’Etat Malagasy et ne faisant objet à aucun procédure de  mutation ni de morcellement, selon notre vérification auprès du service des domaines à Fianarantsoa, en juin 2023. L’on se demande si le contrat de location avec Cotisse est vraiment à titre précaire et remplit les conditions requises.

Selon les informations recueillies pendant notre descente sur terrain en mars 2022, un permis de construire aurait été livré par la commune urbaine de Fianarantsoa par le biais de son service de l’urbanisme. Une plaque installée sur le chantier a confirmé la délivrance de ce permis suivant l’arrêté municipal n°35 CU/F/CAB, en date du 14 juin 2017.

Pour l’intérêt de l’enquête, la vérification au sein du service urbanisme de la commune urbaine de Fianarantsoa était incontournable. Or, l’existence de cet arrêté s’avérait fictive. Son numéro ne figure pas dans le registre de délivrance des autorisations correspondant à la date du 14 juin 2017.

Le responsable du service de l’urbanisme a nié en bloc son implication dans la délivrance du permis de construire. « En vertu de la loi 2015-052 du 16 décembre 2015 sur l’aménagement du territoire, l’urbanisme et l’habitat, la commune n’est pas habilitée à délivrer un permis de construire pour un bâtiment identique à celui de la Cotisse et dont le coefficient d’emprise du sol est supérieur à 1000 m2. Le permis de construire devrait être délivrée au niveau du ministère de l’aménagement du territoire » a rétorqué le responsable du service de l’Urbanisme. Ordre a été donné de suite, par le service de l’urbanisme, pour démonter la plaque de l’autorisation sur le chantier.

La Cotisse n’a pas répondu à l’appel du comité

Malgré l’absence d’un plan de redressement tacite, des initiatives ont été prises au sein du comité de redressement de la FCE pour entamer le processus d’assainissement de la gestion interne de la société. La première étape étant de réunir tous les locataires de terrains et emprises de la FCE afin de mettre à jour les données y afférant, le 14 juin 2023.

D’après une source au sein du comité, 194 locataires, issus de la commune urbaine de Fianarantsoa et de la commune rurale d’Ambalakely, ont assisté à cette réunion. Selon les inventaires, 163 d’entre eux ont payé régulièrement leur loyer tandis qu’une bonne trentaine de locataires sont en situation d’irrégularité vis-à-vis de leur paiement, depuis 2016 et 2017.

A partir de ce premier résultat de l’inventaire, l’on se demande sur la situation de la société Cotisse par rapport au paiement de son loyer dans le cas où elle bénéficie encore d’un contrat de location avec la FCE. La société est-elle solvable ? Son absence à cette réunion confirme- t-il les bruits qui circulent dans la coulisse selon lesquels un bail emphytéotique de 30 ans aurait été conclu entre l’Etat malagasy et la société Cotisse ?   Ces questions restent sans réponse au niveau local.   

Des milliards de dettes

L’actuelle direction collégiale de la FCE peine à assurer le redressement de la société FCE, bien que le résultat financier du voyage inaugural du 15 juin 2023 ait été satisfaisant avec ses 7 millions d’ariary de bénéfices. D’après les explications d’un membre de la direction collégiale, il est incertain de pouvoir maintenir le rythme à cause de la vétusté des voies. « Techniquement, des travaux de réhabilitation totale des voies doivent s’effectuer, au moins, tous les 50 ans. Alors que le notre n’a jamais connu ces travaux depuis 87 ans », a-t-il avoué avec impuissance.

« En outre, plusieurs milliards de dettes causées par la gabegie doivent être payées. Les dettes actuelles de la société FCE s’élèvent à environ 2 milliards ariary. En l’occurrence, 105 millions ariary à la société pétrolière Galana et celle de la Jirama estimé à 35 millions ariary. Le salaire impayé du personnel est de 1 600 000 000 ariary pour 16 mois de travail » nous a confié ce responsable au sein de la direction collégiale de la FCE.

Jusqu’en mi-juin 2023, aucun plan de redressement n’a été établi ni validé alors que le comité de redressement, une structure qui est chargé de faire le contrôle et le suivi des travaux à effectuer est déjà mise en place. Implicitement, aucun plan financier n’est encore disponible pour assurer ce redressement. « Force est d’admettre qu’on navigue complètement dans le brouillard sans visibilité, aucune », a conclu ce membre de la direction collégiale de la FCE.

87 ans d’histoire et d’amour

La FCE est une société d’Etat, la seule qui constitue, actuellement, le réseau national de chemin de fer Malgache (RNCFM), après la mise en concession des lignes Antananarivo Antsirabe (TA), Antananarivo Côte Est (TCE) et Moramanga Lac Alaotra (MLA) du réseau Nord au profit de la société Madarail.

La construction de la ligne ferroviaire FCE a duré 7 ans, de 1929 en 1936, pendant la colonisation. Outre son importance économique, la FCE recèle également des valeurs historique et culturelle. Elle se différencie avec ses ouvrages d’art, en l’occurrence le tunnel d’Ankarampotsy qui est le plus long à Madagascar, mesurant 1km, entre la gare de Madiorano et Andrambovato. Historiquement, 5 000 hommes ont perdu la vie lors de la construction du tunnel. Ces hommes travaillaient de force lors du Service de la Main d’œuvre des Travaux publics d’Intérêt Général ou la SMOTIG, durant l’époque coloniale. Une des raisons pour lesquelles la population riveraine attache de l’importance voire de l’affection à cette ligne ferroviaire.  Les bénéficiaires la considèrent comme un héritage collectif.

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